Camille et Claude

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il y a 6 ans
Nous sommes un couple à la recherche de nouvelles sensations. Et récemment, nous avons découvert en nous un certain désir d'être dominés.

Comme, aucun de nous n'a d'expérience ou de tendance dominatrice, nous avons cherché, sur différents sites, un partenaire pour une première expérience. Nous sommes finalement entrés en relation avec un homme qui nous a semblé pouvoir nous apporter ce que nous recherchions.

Après échange de plusieurs messages, il nous a fixé rendez-vous pour une première rencontre. Nous devions dîner à la terrasse d'un restaurant d'une ville voisine où il nous rejoindrait. Ce soir d'été, mon amie Camille et moi, sommes donc attablés à la terrasse du restaurant. En mangeant, nous parlons de nos sensations et de nos attentes, impatients et quelque peu inquiets aussi avant la rencontre. Un homme, la cinquantaine élégante, mange seul, à une table voisine. Au cours du repas, nous surprenons plusieurs fois son regard posé sur nous, nous détaillant.

A la fin du repas, alors que le garçon débarrasse sa table, sans hésitation, notre voisin vient, d'autorité, s'asseoir à la nôtre. Il nous annonce qu'il est celui que nous attendons, que le garçon va apporter les cafés qu'il a commandés, qu'après nous avoir observés et avoir entendu notre conversation, il est prêt à nous faire vivre cette nouvelle expérience, si nous en sommes toujours d'accord. Séduit par sa bonne mine et sa prestance, sans beaucoup d'hésitation, après un regard d'approbation de mon amie, je réponds que nous pouvons toujours faire un essai, à condition que ce soit sans maltraitance gratuite.

Les cafés nous sont servis à ce moment-là, ce qui interrompt la conversation et le dispense de répondre de suite. Nous les dégustons silencieusement, chacun de nous deux se demandant ou imaginant quelle va être la suite des événements. Sa tasse reposée, il nous dit en souriant qu'il n'est pas sadique et que nous ne subirons aucune contrainte qui ne soit acceptée. S'il y a contrainte, le soumis est toujours consentant, connaissant le « mot de passe » lui permettant d'y mettre fin. La soumission permet la mise au jour et l'acceptation de désirs et de pulsions qui, sans elle, ne seraient ni reconnus ni assouvis par le soumis.

D'ailleurs, s'il a bien compris notre attente, ce n'est qu'un simple jeu pimentant notre vie que nous désirons. Nous acquiesçons à ses propos. Il ne saurait être question, pour nous, de soumission totale, mentale et physique. Déjà, notre initiative relève d'un important saut dans l'inconnu. Pour ma part, face à cette situation nouvelle, je me sens un peu oppressé, mais aussi terriblement excité. Comme s'il sentait cette inquiétude en moi, il me dit de me détendre, que, là, maintenant, il va parler à mon amie.

Il la regarde et lui dit qu'elle est très belle et qu'il est sûr qu'elle sera une soumise parfaite. Muette, elle paraît comme envoûtée par ses propos. Le regard qu'il pose sur elle a déjà pris possession de son corps. Je sens que son regard et les mots qu'il prononce la touchent, la caressent, la déshabillent plus sûrement que ses mains. Avec, je le sais rien qu'en la regardant, cette chaleur qui naît et grandit peu à peu au creux de son ventre. Pour qu'elle savoure cette sensation, qu'elle ressente pleinement ce trouble qui l'envahit, il se tait un moment, la détaille en silence. Rougissante sous ce regard inquisiteur, elle croise nerveusement les jambes, comme pour masquer le trouble intime qui naît en elle mais que nous percevons parfaitement tous les deux.

Souriant, il reprend alors la parole et d'une voix douce mais ferme, lui dit qu'il comprend fort bien son émotion, sa gorge sans doute nouée, sa difficulté à parler. Pour cette première fois, afin de surmonter sa gêne, elle doit marquer son désir et son acceptation, par un acte simple mais fortement symbolique. Il souhaite donc qu'elle se rende aux toilettes retirer sa lingerie, puis qu'elle revienne s'asseoir en gardant les jambes décroisées, ouvertes, comme toujours, dorénavant, en sa présence.

Stupéfait, je vois Camille, les yeux baissés, décroiser lentement les jambes, se lever, prendre son sac et obéir. Elle s'éloigne vers l'intérieur du restaurant, suivie par nos deux regards. Dès qu'elle a disparu, ses yeux reviennent sur moi, et il me demande si j'aime cette sensation de trouble que visiblement je ressens. Je reconnais que c'est une sensation nouvelle pour moi, qui me bouleverse profondément et que oui, j'aime ça. Il me rétorque qu'il en était sûr, que si cela ne m'avait pas plu, je serais déjà parti.

Il me demande alors de lui décrire un des fantasmes auquel je rêve. Et me voilà, décrivant à un parfait inconnu qui me fixe de son regard impérieux, le fantasme qui m'obsède depuis plusieurs mois : regarder, sans pouvoir intervenir, un homme soumettre Camille, la plier à tous ses désirs, jouer avec son corps, l'ouvrir, la pénétrer et lui faire l'amour, soumise de gré ou pas. Toujours souriant, notre Maître, - il faut bien l'appeler ainsi maintenant -, acquiesce :

« Eh bien, nous verrons ce que nous pourrons faire pour réaliser ça...! Ton amie est si belle et si désirable... » Je déglutis avec peine, réalisant que bientôt cela risque de ne plus être simplement un fantasme mais de devenir une réalité. Cette idée me tourmente mais malgré cela, je suis très excité et mon sexe réagit spontanément à cette évocation.

A cet instant Camille fait sa réapparition, toujours aussi gênée. Elle s'assied comme on le lui a ordonné et tire sa légère jupe portefeuille sur ses cuisses. Elle ne recouvre que partiellement ses jambes, qui, maintenant disjointes, écartent le tissu sur ses cuisses. Son corsage de soie est maintenant entièrement boutonné, fermé jusqu'au col. Evidemment, l'homme s'aperçoit aussitôt du changement. « C'est bien Camille, dit-il, je ne te demande pas de sortir de ton sac les pièces à conviction. Ton attitude prouve assez que tu as obéi scrupuleusement ! Mais, vraiment, pourquoi cacher une aussi belle poitrine ? Tu vas rouvrir ton chemisier... jusqu'à la naissance de tes seins ! »

Hésitante, coulant vers moi un regard furtif, elle obéit. Nous fixons la naissance de sa gorge, que la rougeur a gagnée, et qui apparaît dans l'échancrure. Nous nous taisons tous trois, nous, tout à notre gêne ou à nos inquiétudes, lui savourant le spectacle de notre émoi, son emprise sur nous, le trouble qu'il fait naître en nous.

Au bout d'un long silence, alors que Camille retrouve peu à peu, une attitude moins figée, et se détend quelque peu, il lui demande de lui confier sa culotte quelques instants. Ahurie, Camille ouvre son sac et lui remet discrètement la lingerie roulée en boule dans sa main. Mais lui, déploie le string gris perle, le tourne, le retourne, le hume. Puis il hèle le serveur en agitant le trophée. Camille ne sait plus où se mettre.

« Oui, monsieur ?

  • Mon ami, que pensez-vous de ce vêtement que madame vient de retirer?
  • Heu...,heu... c'est une pièce magnifique, monsieur.
  • N'est-ce pas ? Elle est tout humide, même un peu poisseuse. Et odorante à souhait !
  • ...
  • Il conviendrait sans doute de colmater rapidement cette brèche qui suinte avant que la fuite ne s'aggrave, surtout maintenant que madame n'a plus cette protection ! Notre ami s'y emploiera dès qu'il vous aura réglé ! Quand le serveur s'est éloigné, après un regard insistant vers mon amie, écarlate, le Maître se retourne alors vers elle, toujours immobile, figée de honte, et me désignant : « Sais-tu ce qu'il souhaite que je te fasse subir ? »
  • Oui, ...je crois, dit-elle.
  • Et toi, qu'en dis-tu ? Tu es seulement d'accord ? Ou bien tu en as toi-même envie ? » Camille baisse la tête, rougissant encore plus, si possible : « Oui.
  • Oui ? Oui quoi ?
  • ...Oui, moi aussi j'en ai envie..., lâche-t-elle enfin dans un souffle.
  • Imagine-toi les choses que tu vas subir, sans compter celles que tu vas devoir faire sous mes ordres ! » Camille l'écoute en hochant lentement la tête, fascinée, le regard trouble. « Bien ! Puisque nous sommes d'accord, rendez-vous à la même heure la semaine prochaine, devant ce restaurant pour votre baptême à tous les deux ! Dans la même tenue... », précise-t-il en fixant mon amie dans les yeux et en lui tendant son string. Puis nous quitte en nous souhaitant ironiquement de passer une bonne fin de soirée. Nous rentrons nous aussi. Rapidement, pour faire l'amour, avec une fougue décuplée ...
CHAPITRE 2 : Premiers pas

Toute la semaine nous balançons pour savoir si nous irons ou non à ce rendez-vous.

Mais, le jour fixé, nous sommes là, très excités tous deux, un peu inquiets cependant devant cette situation inconnue. Que va-t-il se passer ? Que va-t-il inventer ? A quel jeu pervers va-t-il nous faire jouer ? Mystère. En tout cas, il a bien su nous mettre en condition, en nous laissant imaginer et supposer toutes sortes de choses durant tout ce laps de temps avant le rendez-vous : nous sommes tout à la fois curieux, impatients et passablement inquiets !

Cette situation est profondément excitante !

Lui aussi est là, à l'heure. A pied, il nous emmène en flânant jusque chez lui, un peu plus loin. Il marche à côté de Camille, - vêtue comme la semaine précédente, nue sous son corsage de soie et sa jupe -, entretenant son trouble, lui disant combien ses seins qui bougent librement sous son mince corsage lui semblent magnifiques, lui demandant son impression à se sentir aussi peu vêtue, à se promener dans la rue quasi nue, à sentir l'air caresser son ventre et ses fesses. Se rend-elle compte à quel point elle est désirable ainsi, combien de convoitises et de fantasmes elle doit éveiller chez les mâles croisés sur notre route ?

Manifestement, il a compris, dès la semaine dernière, combien Camille est sensible aux mots et combien ceux-ci peuvent exacerber son imagination et ses réactions, l'amenant parfois, malgré sa pudeur naturelle, à se surpasser et à repousser ses limites. Je suis persuadé qu'il la soumettra plus facilement avec les paroles qu'avec la contrainte.

Nous arrivons enfin chez lui. Il nous fait entrer dans son pavillon, en retrait de l'avenue, entouré d'un parc clos d'une grille. Comme est rassurante, chaleureuse, immédiatement familière, la pièce dans laquelle nous venons de pénétrer : moquette confortable, table basse, bureau, large bibliothèque croulant sous les livres, canapé et fauteuils couverts de coussins, reproductions de Klee et calligraphies arabes au mur... Un miroir, au-dessus d'une commode, occupe le centre d'un des murs.

Il nous installe sur un confortable canapé et prend place dans un large fauteuil. Camille, marquant un instant d'hésitation, soulève sa jupe pour ne pas s'asseoir dessus et prend soin de ne pas croiser les genoux, de garder les jambes légèrement disjointes. L'homme sourit de satisfaction et hoche la tête. Puis il se relève pour servir à boire. D'office, une boisson forte. Un vieux cognac...

Il nous dit qu'il est très heureux que nous soyons venus ce soir, que cela était en quelque sorte un test de motivation. Il précise que, dans les rapports dominant / soumis, on appelle le dominant Maître, que lui est Maître Alex, mais que, en général, le silence du soumis est de rigueur. Il se contente de répondre si on l'interroge. Pour lui, s'il aime donner des ordres et être obéi, son but est d'abord d'amener ses partenaires soumis à se dépasser, à dominer leurs réticences et leurs peurs. D'ailleurs, l'incertitude et la crainte de l'inconnu entrent pour une bonne part dans l'émotion ressentie par les soumis.

La contrainte, parfois, n'est justifiée que pour les aider à aller plus loin en eux-mêmes, les obliger à se dépasser en quelque sorte. Le recours à celle-ci n'a de sens que si cela augmente le plaisir éprouvé par les soumis. Mais ceux-ci disposent toujours de la faculté de tout arrêter immédiatement, de faire cesser définitivement le jeu. Mais bien peu, s'ils sont motivés, le font. La seule véritable perversion, ce serait de traiter son partenaire en objet, sans tenir compte de ses désirs. Il ne faut jamais oublier qu'on est jamais seul, et que la domination est un fantasme qui se partage avec le soumis...

Nous devons le savoir, l'inconnu est très ferme sur ce point, il n'y aura aucun retour en arrière possible dès lors que le jeu aura commencé. Il ne sera pas brutal, ne nous infligera nulle souffrance qui ne comporterait pas pour nous la gratification d'un plaisir, se comportera seulement en ami sévère qui sait mieux que nous ce dont nous avons besoin. Mais il ne tiendra aucun compte de nos protestations. Nous sommes prévenus. Et c'est bien ça, être à sa merci, qui m'inquiète un peu, au fond de moi, et m'excite aussi, je suis bien obligé de l'admettre au fond de moi...

Il insiste : « Vous me faites confiance et acceptez de vous soumettre à ma volonté, et que je ne tienne pas compte de vos protestations, de vos réticences, si jamais vous en aviez? Seul le mot de passe STOP mettra fin au jeu. »

Il ajoute que, dans une domination, même purement physique, les relations sexuelles ne sont pas obligatoires, mais que la beauté, l'érotisme qui se dégagent de certaines scènes ou de certaines personnes méritent parfois un hommage personnel plus concret et plus marqué. Il demande à Camille si elle acceptera, ou non, l'acte sexuel au cours de la séance. Elle lui répond que l'idée de la possession est au cœur de nos fantasmes, et qu'elle souhaite être dominée complètement, physiquement et sexuellement.

Il approuve puis se tourne alors vers moi et me demande abruptement :

« Et toi ? Acceptes-tu aussi non seulement d'obéir, mais aussi d'être possédé ? » Je me sens rouge de gêne sous son regard impérieux. Camille me regarde aussi, l'air interrogateur. Je sais combien, tout comme moi pour elle, elle aussi désire me voir réduit à merci, soumis, et pris par un autre homme. Je hoche la tête et lâche faiblement : « Oui, Maître, ...mais ce sera la première fois. »

  • Mieux vaut perdre son pucelage tard que jamais ! » dit-il en souriant. Il se dit certain de nous voir découvrir et éprouver de grands plaisirs, sans doute inédits et inconnus de nous ; mais que cette première séance va se faire « tout en douceur ». Me fixant alors dans les yeux, il m'ordonne de me lever et de me déshabiller.

Le jeu est donc commencé, désormais. Il n'y a plus d'échappatoire, et ce n'est plus tout à fait, dans mon esprit, un jeu. Je tremble d'appréhension et d'excitation, mais j'obéis, en avalant ma salive, tant ma gorge est nouée de trac. J'ai vite fait de quitter ma chemisette et mon pantalon de toile. « Complètement ! » ordonne-t-il plus sèchement. Un peu confus, je fais glisser mon slip à mes pieds et me retrouve nu devant Camille et lui. Il me montre l'emplacement du bar d'un geste : « Maintenant, tu vas nous resservir à boire, à Camille et moi !

Ensuite, tu resteras debout devant nous, en attendant, mains dans le dos, en bon serviteur zélé... Nous allons, en somme, boire à ta santé le petit verre du condamné ! » ironise-t-il. Je fais le service puis j'attends.

Camille et lui boivent lentement leur digestif tout en me fixant. Leur regard posé sur mon corps nu me trouble. Sensation inconnue, bizarre. Ma position, mains au dos, met mon sexe bien en évidence, juste sous leurs yeux. Je sens bientôt que mes bourses se contractent et que mon sexe grossit peu à peu, malgré moi. Les voir m'observer, soumis et troublé de l'être, m'excite profondément et me fait bander ! Mon sexe continue à gonfler et commence peu à peu à s'élever. « Tourne sur toi-même maintenant ! Lentement, qu'on te voit !» Je commence à faire demi-tour. « Joli petit cul, ma foi ! Suffisamment attirant et ferme pour qu'on ait envie de le fesser ou de le prendre en main et de s'y enfoncer ! Tu n'es pas de mon avis, Camille ? » Mon érection a encore augmenté pendant qu'ils me détaillent comme un animal, ma honte aussi lorsque je leur fais face de nouveau, la verge maintenant quasiment à l'horizontale, pointée vers eux. « Eh bien, voilà un examen qui a l'air de te faire de l'effet on dirait ! Et tu rougis même de honte ! C'est un bon pronostic ! » s'exclame le Maître. Il se tourne alors vers Camille dont la respiration s'est accélérée :

« Cela te trouble de le regarder? De le voir soumis ? De le voir bander ?

  • Oui, Maître.
  • Oui, quoi ?
  • Oui, je suis troublée... par tout cela.
  • Et cela t'excite ?
  • Oui, cela m'excite, répond-elle, d'une voix enrouée par l'émotion.
  • Et tu coules ?
  • Oui, Maître, je...je coule..., dit-elle dans un souffle.
  • Eh bien, vérifions ça ! Lève-toi ! Relève ta jupe et ouvre tes jambes ! »

Lentement, la tête basse, Camille se met debout, découvre peu à peu ses jambes en remontant sa jupe au-dessus de ses hanches et, écartant les cuisses, offre à nos regards sa toison et les lèvres décloses de son sexe, luisantes de rosée. L'homme se lève alors, passe le bout de ses doigts sur la fente humide de Camille qui frissonne sous la caresse et les hume en souriant : « Allons, dit-il, tu mouilles bien, mais cela sent encore la jeune fille trop bien récurée. Tout à l'heure, j'espère que tu seras encore bien plus liquide et odorante ! ».

Puis il la prend par la main. La jupe retombe. Il l'amène vers le centre de la pièce, face à moi. Il lui ordonne de quitter son chemisier, de s'agenouiller, jambes écartées, et de croiser les mains sur sa nuque. Elle s'exécute aussitôt, avec empressement même, selon moi. Son émoi est perceptible dans la nervosité et la difficulté avec lesquelles elle déboutonne son mince vêtement. Sa rougeur, ses yeux baissés et sa respiration oppressée trahissent aussi son trouble.

Elle laisse enfin tomber le chemisier à terre et prend la pose demandée. Ses bras levés, tirés en arrière, font saillir son buste et creusent ses reins. Ses seins dardent leurs pointes durcies au-devant d'elle, comme une offrande. Elle est vraiment magnifique ainsi.

Sans un mot, l'homme l'admire longuement. Puis, lentement, il passe derrière elle, lui saisit les seins et les pétrit à pleines mains. Camille a un sursaut de surprise avant de s'abandonner à la caresse. Il prend ensuite entre le pouce et l'index de chaque main les bouts des seins de Camille, les étire, les triture, les agace, puis les abandonne pour palper à nouveau le globe de ses seins de ses paumes, du plat de l'ongle suivre le dessin de l'aréole puis revenir aux pointes, les pincer légèrement.

Je peux voir la poitrine dénudée de Camille, avec ses mamelons aux pointes dressées, arrogantes, fermement massée par les mains habiles de l'homme qui augmente l'intensité de sa caresse, pince entre ses doigts les pointes érigées, les étire de plus en plus, les tord légèrement d'abord, puis plus fort, faisant tressaillir et grimacer Camille.

Il poursuit longuement, sans hâte aucune, sa palpation ; jusqu'à ce qu'un gémissement sorte de la gorge de Camille, que sa respiration se fasse haletante, qu'elle offre encore plus sa poitrine aux doigts qui la pétrissent. Elle garde les yeux baissés, rougissante et honteuse de ne pas pouvoir masquer l'émoi que lui procure cette première « prise en mains » virile. L'homme la lâche alors, la contemple un moment, désirante, haletante, et lui demande : « As-tu eu beaucoup d'amants, Camille ?

  • Non !
  • Combien ?
  • Aucun ! Il n'y a eu que Claude.
  • C'est lui qui t'a dépucelée ?
  • Oui, ...c'est lui.
  • Il t'a déjà enculée ?
  • ...Oui, quelques fois, murmure-t-elle.
  • Et tu as aimé ?
  • La première fois j'ai eu mal, mais les autres fois non.
  • Quand tu le suces, il jouit dans ta bouche ? Tu avales son sperme ?
  • ...Oui, cela arrive.
  • Tu aimes ça ?
  • Claude aime ça. Ça lui donne du plaisir, alors j'aime aussi.
  • Il est donc le seul à connaître ton corps, à t'avoir baisé dans tous tes orifices ?
  • Oui, c'est le seul homme que j'ai connu, dit-elle dans un souffle.
  • Eh bien, nous allons donc devoir remédier à ce manque ma jolie !... »

Il la laisse là, horriblement gênée et honteuse d'avoir du répondre à cet interrogatoire indiscret. C'est sûr qu'il a fait exprès de se montrer direct et cru pour la déstabiliser, sentant bien qu'elle n'a pas l'habitude de parler ouvertement de ses pratiques sexuelles. Il se tourne alors vers moi et me lance : « A nous deux, maintenant ! ». Je suis toujours debout, immobile, le sexe érigé, dressé devant moi. Il se dirige vers la commode, ouvre l'un des tiroirs et en sort plusieurs cordelettes. Il m'ordonne alors de me mettre contre la table du salon, face à la commode et pose les cordes sur mon sexe dressé, comme sur un vulgaire crochet. Puis il attache mes poignets derrière ma nuque avec l'une d'elles. Les autres lui servent à me lier chaque cheville au bas de deux des pieds de la table basse. Je suis ainsi obligé de garder les jambes très ouvertes.

Je peux me contempler dans le miroir au-dessus de la commode, immobilisé, solidement lié, jambes bien écartées, mains à hauteur de la tête. Ma position est semblable à celle de Camille, mais moi, je suis debout, attaché et ne peux plus bouger. Mon excitation est extrême. Mon érection a encore augmenté : mon sexe est dressé devant moi, raide, en érection totale. Le gland, qui a émergé peu à peu du prépuce pendant qu'il m'attachait, est maintenant complètement sorti, rouge et turgescent.

Une goutte perle à son extrémité. L'homme remarque mon regard dans la glace, sourit à nouveau, puis me refait face et saisit soudain mes bourses dans sa main. Je sursaute et pousse un cri de surprise sous la soudaineté imprévisible de son geste. Il soupèse mes couilles avec une moue approbatrice, se tourne vers Camille qui observe la scène, toujours agenouillée, les seins nus, offerts et les reins cambrés sous sa jupe, pour lui demander : « Il est ma foi bien monté ton ami. J'espère qu'il sait s'en servir ! »

Continuant à me masser les bourses négligemment, il ajoute : « Est-ce qu'il te donne du plaisir ?

  • Oui, Maître, répond Camille.
  • Il sait te faire jouir ?
  • Oui, Maître.
  • Tu jouis plusieurs fois de suite ? Camille se trouble. Sa voix s'enroue quand elle répond :
  • Oui, ...souvent.
  • Et tu cries quand tu jouis ?
  • Oui...cela m'arrive parfois.
  • Pas toujours ? Et quand cries-tu ?
  • Quand... quand c'est vraiment fort, ...que je ne sais plus où je suis, ni qui je suis, dit-elle, écarlate et le regard fuyant.
  • Très bien. Ce sont là de bonnes dispositions, ma belle. Nous nous emploierons à te satisfaire, à te faire chanter au delà de tes espérances, j'espère ! Mais patience ! Ce sera pour plus tard ! Pour le moment, c'est ton ami que nous allons contenter. Toi, tu vas d'abord prendre son sexe dans ta bouche, et le caresser en gardant la même posture ! »

Camille se relève s'approche de moi, s'agenouille de l'autre côté de la table basse, les mains toujours sur la nuque. Elle se penche difficilement par dessus la table et je sens ses lèvres caresser doucement mon gland. Sa langue commence par s'enrouler tout autour de celui-ci, et elle le lèche amoureusement, insistant particulièrement sur le sillon, si sensible, là où elle sait que la caresse est la plus délicieuse. Je me cambre et tends mon ventre dans sa direction par-dessus la table.

Alors, lentement, elle engloutit mon membre raide et tendu le plus loin possible. Je pousse un soupir d'aise tant je me sens bien dans sa bouche chaude et mouillée. Ses lèvres serrent la base de mon sexe et sa langue continue ses caresses enveloppantes autour de ma tige.

Pendant ce temps, Maître Alex s'approche de moi par derrière et commence par me caresser les fesses, glissant parfois un doigt dans le sillon jusque sur mon anus contracté. A chacun de ses attouchements, je sursaute, m'enfonçant plus loin dans la bouche de Camille. Puis son autre main, par dessous, passe entre mes cuisses et se remet à malaxer mes couilles que je sens se contracter et remonter tout contre ma verge.

En même temps, son pouce masse mon périnée et s'aventure, lui aussi, jusqu'à mon anus. Je ne sais jamais laquelle de ses mains va venir titiller mon cul, celle remontant de mes bourses, ou l'autre descendant de mes fesses. Involontairement, instinctivement, je contracte puis relâche mes muscles à chaque attouchement, imprévisible, mon anus vibrant au rythme irrégulier qu'il donne à sa caresse, qu'il impose à mon sphincter.

Dans le miroir, je me rends soudain compte de la situation dans laquelle nous sommes : je suis en train de me faire sucer par mon amie pendant qu'un type la regarde faire, et qu'en même temps il me masse les couilles et me caresse le cul. Je me sens rougir de honte à l'idée que je vais sans doute bientôt jouir ainsi, impuissant, prisonnier de mes liens. Mais je ne puis plus rien faire pour y échapper et je suis trop près de la jouissance pour avoir l'énergie et l'envie d'arrêter le déroulement de ce jeu pervers.

Je ferme les yeux pour ne plus me voir dans le miroir. Mais, finalement, je me dis lâchement que, tout compte fait, je me doutais bien de ce qui risquait de m'arriver en acceptant ce jeu et qu'il vaut autant bien en profiter, plutôt que de culpabiliser sur ma perversité et mon impuissance à modifier la situation. Je rouvre donc les yeux et regarde à nouveau la scène dans le miroir.

Et peu à peu je me calme et je me laisse aller. Comme l'homme titille plus précisément mon trou, je me surprends à m'ouvrir et à essayer de me pencher en avant pour lui en faciliter l'accès. Un rauque gémissement de plaisir s'échappe de ma gorge. Comme s'il sentait ma tension se relâcher, comme s'il guettait cet instant, il enfonce alors résolument son doigt dans mon cul et je dois me retenir pour ne pas gicler tout de suite dans la bouche de Camille : c'est vraiment extraordinaire de sentir mon trou dilaté par un doigt, sa main qui masse mes couilles alors que les lèvres de Camille s'activent autour de ma queue. Je sens que je suis au bord de l'éjaculation. Lui aussi doit le sentir car il ordonne à Camille d'arrêter sa caresse, de se relever et de simplement le regarder s'occuper de moi, en douceur si je me montre coopératif, plus brutalement si je résiste.

Si je pensais que j'allais jouir dans la bouche de Camille et que cela serait fini, je comprends que je me suis trompé. Manifestement, la séance n'est pas encore terminée. Que va-t-il imaginer pour m'humilier davantage ? Dans quelle situation embarrassante vais-je encore me retrouver, et cela sous les yeux de Camille ?

Il est vrai que son attitude attentive montre assez son intérêt pour ce qui m'arrive. Ses yeux la trahissent. Elle boit littéralement la scène des yeux, allant, alternativement de moi à l'homme, puis de l'homme à moi, ne manifestant plus la moindre gêne, buste nu, seins dressés, offerts. Je suis sûr que son sexe est une fontaine, sous sa jupe.

L'homme affirme alors que le regard est le meilleur allié du dominateur. Regard du soumis d'abord, ou privation de ce regard sur lui-même, mais aussi importance du regard porté par autrui sur celui qui est soumis, sur ce qu'il subit. C'est le meilleur moyen de faire prendre conscience au soumis de son humiliation. L'autre, même soumis lui-même, à son insu, se fait complice du dominant. Il a une importance capitale dans la perception du jeu par le dominé. C'est ce regard qui proclame publiquement la soumission.

Il retire son doigt, s'écarte : j'ai la sensation étrange de me sentir vide, abandonné, inutile. Il fait passer mes bras liés par-dessus ma tête, les ramène vers l'avant, me fait poser les avant-bras sur la table basse et me courbe jusqu'à ce que ma tête repose sur ceux-ci. Me voilà courbé en deux, les genoux un peu pliés, les fesses en l'air, parfaitement ouvertes, le cul offert, dans une position parfaitement indécente et qui n'a rien de confortable.

J'entends l'homme ouvrir un tiroir, y prendre des objets et revenir près de moi. Je ne peux voir ce qu'il pose sur le canapé. Je sens soudain quelque chose de froid sur mon anus : du gel lubrifiant ! La sensation de ce produit froid sur une partie aussi intime de mon corps éveille en moi un courant de frissons qui, me fait perdre tout contrôle de moi-même. Avec expérience, il l'étale avec son doigt sur le pourtour de mon trou puis le fait pénétrer à l'intérieur. Mon sphincter se crispe convulsivement autour de ce doigt qui me fouille. Posément, il le détend avec de lentes pénétrations, de plus en plus profondes, des rotations allant s'élargissant, jusqu'à ce qu'il puisse introduire un autre doigt pour m'élargir encore davantage.

La sensation, bien qu'inédite, est plutôt agréable tant les mouvements sont parfaitement lubrifiés. J'y prends même plaisir. J'ai perdu toute notion de bien, de mal, de morale... plus rien ne compte. Je me sens comme sur un nuage, détendu, près à profiter totalement de l'instant. Et lui, il continue, avec ses doigts à parcourir mon entre-fesse, à me fouiller et à me dilater.

Quand il me juge « à point », il retire ses doigts. Je me sens très ouvert, les muscles détendus. Je sens confusément que ça y est, que le grand moment est là. Je me rends compte - je suis bien obligé de me l'avouer - que je l'attendais confusément, inconsciemment, avec impatience, et anxiété aussi... Je sens un objet froid en contact avec ma rondelle ! Je réalise qu'il va me sodomiser avec un gode. La pression augmente et je suis tout étonné de sentir l'instrument entrer sans beaucoup d'efforts, sans douleur, malgré ses dimensions. Je comprends que je suis tellement excité par cette situation que je suis parfaitement prêt pour cette sodomie.

Je sens le cylindre de plastique pénétrer lentement mon rectum, sans heurts, puis se retirer avant de revenir encore plus profondément. Le mieux, c'est quand il ressort complètement : pendant un instant, je ressens l'absence, le vide et l'instant d'après, c'est de nouveau le délice de l'élargissement ! Comment ai-je pu ignorer ce plaisir si longtemps... ?

Après quelques va et vient, il retire le gode et le remplace par un autre, d'un diamètre plus important. Plusieurs aller-retour sont nécessaires à son intromission : à chaque fois, la progression est plus profonde, mon anus plus dilaté. La douleur apparaît maintenant à chaque poussée : j'ai l'impression que le gode va me déchirer à chaque fois qu'il entre plus profondément en moi. Mais non ! Il progresse toujours plus loin, toujours plus gros. Au plaisir précédent, encore présent, se mêle maintenant cette souffrance, cette sensation d'écartèlement, de déchirure, cette impression que mon cul va éclater...

Enfin, après plusieurs allers-retours, la partie la plus large de l'engin parvient à franchir mon sphincter : il est plus gros, mais moins long que l'autre et sa base, moins large, se termine par un renflement le maintenant en place entre mes fesses. Au moment où je l'engloutis en moi et où mon anus se resserre sur la base de l'engin, une vague de plaisir m'envahit, me submerge et j'éjacule soudain, tout seul, en longs jets de sperme. Je me vide là, sur la table, éclaboussant mon torse de sperme, dans un râle de jouissance. Jamais je n'avais connu ça !

« Eh bien Camille, ton ami a vraiment de la ressource ! Non content d'avoir des tendances exhibitionnistes qui l'excitent, il est aussi sodomite et jouit quand on lui élargit le cul ! Un homme complet en somme ! Félicitations ! Je suis sûr que tu ne soupçonnais pas tous ces talents cachés en lui !

  • Non, pas vraiment... répond Camille d'une voix que je trouve étrangement rauque.
  • Eh bien tu vois, on découvre tous les jours de nouveaux talents, ... même chez ceux que l'on croit connaître ! » Ma honte est à la mesure du plaisir ressenti. « Seulement mon petit ami, ajoute-t-il, il va te falloir maintenant faire le ménage et nettoyer tout ça ... ».

Et, tout en m'aidant à me redresser, il me détache et me tend mon slip pour essuyer les taches de sperme qui maculent la table. « Et dis-toi que la prochaine fois, c'est avec ta langue que tu devras nettoyer tes débordements intempestifs ! » J'ai toujours son instrument dans les entrailles, qui me dilate l'anus. Je le lui désigne : « Et ça ? Vous ne me l'avez pas enlevé !

  • Non, tu le gardes. N'aie pas peur, il ne ressortira pas tout seul ! -Je le garde ?
  • Oui, tu le gardes. Tu l'enlèveras chez toi ! Et Camille le portera, la prochaine fois que vous viendrez ! »

Pendant que j'entreprends de nettoyer, tant bien que mal, mes avant-bras, mon visage... et la table basse, il étale sur son bureau une grande serviette de bain pliée là, s'approche de Camille, et détachant sa jupe, ultime vêtement qui la couvre, la dénude complètement. Il glisse ses doigts entre les jambes de celle-ci, les retire humides et luisants, les sent et souriant, hoche la tête en fixant Camille dans les yeux, sans faire de commentaire. Celle-ci rougit et détourne la tête.

« Maintenant je vais m'occuper un peu de toi, lui dit-il, et d'abord nous allons te rendre plus présentable car je te trouve un peu négligée !» Il l'invite (quel euphémisme !) à s'étendre sur la serviette, jambes pendantes, les mains toujours à la nuque.

Quand elle est en place, il lui relève les pieds, les pose écartés l'un de l'autre sur le bord du meuble et lui ouvre les genoux : son sexe est ainsi exposé aux regards. Il allume alors la lampe du bureau qui illumine le corps offert de la jeune femme. Sa position fait que ses lèvres se séparent et peu à peu s'entrouvrent, découvrant l'entrée de son vagin, irisée de sa sève. Camille ferme les yeux et détourne la tête. De honte ? D'éblouissement ? Elle seule le sait.

La laissant là, offerte et indécise sur le sort qui l'attend, le Maître sort puis revient avec une cuvette à demi-pleine d'eau et une trousse. Il en sort une paire de ciseaux avec laquelle il entreprend de tailler ras la toison de sa soumise. Ensuite à l'aide d'un blaireau il enduit tout le pubis de Camille de mousse à raser. Il fait gonfler la mousse, s'attardant sur le clitoris, tournant, retournant, sans cesse, le blaireau, caressant le sexe offert. Camille, d'abord très crispée, se détend peu à peu et finit par s'offrir à cette douce et insidieuse caresse, écartant davantage les genoux, ondulant du bassin tandis qu'un léger gémissement s'échappe de ses lèvres. L'homme poursuit quelques minutes encore.

Puis, il avertit Camille qu'il vaut mieux qu'elle se tienne immobile et entreprend de raser la toison : d'un geste sûr, rinçant parfois son rasoir dans la cuvette pour en ôter la mousse pleine de poils qui le gêne, il supprime toute la pilosité du bas-ventre de mon amie, jusqu'aux quelques poils follets qui remontent dans la raie de ses fesses. Puis quand elle est débarrassée de toute la mousse par le rasoir, il la nettoie et l'essuie avec la serviette.

Et pour parachever son ?uvre, il prend dans sa trousse une pommade qu'il étale sur le pubis, un peu irrité par le feu du rasoir, en de larges caresses qui se rapprochent lentement des lèvres du sexe sans jamais les toucher, qui tournent autour du capuchon du clitoris qui saille, tout gonflé. Camille ne reste évidemment pas de marbre : son bassin se soulève, se tend vers la main qui la masse. Soudain, quand les doigts de l'homme se posent sur son clitoris et commencent à le faire rouler, à le triturer, un feulement jaillit de la gorge de Camille qui jouit puissamment, le corps soulevé, arqué, ne reposant plus sur le bureau que par la tête et les pieds. Longtemps elle crie tandis que sa liqueur s'échappe de son sexe enfiévré. Tout ce temps, l'homme masse son clitoris, et, plus bas, fouille lentement et profondément son sexe de ses doigts, accompagnant et entretenant la jouissance de Camille de ses caresses.

Quand, épuisée, celle-ci retombe enfin, inerte, sur le bureau, l'homme la contemple quelques minutes pendant qu'elle reprend souffle et se calme. Il lui dit alors :

« Tu vois, d'autres que ton ami peuvent aussi te faire jouir ! Et ce n'est qu'un début !» Il la fait relever, l'amène devant le miroir de la commode. Il lui demande : « Qu'en penses-tu ? Tu es encore plus excitante et plus désirable maintenant. -Je... je suis surprise de me voir ainsi.

  • Mais est-ce que ça te plaît ?
  • Je ne sais pas... Il faut que je m'y habitue...
  • Moi ça me plaît et je veux toujours te voir aussi lisse que maintenant. A chaque rencontre tu seras rasée. Je ne veux plus de buisson ! Compris ?
  • Oui, Maître. Je me raserai.
  • C'est bien, petite soumise ! J'aime te voir obéissante. La prochaine fois nous irons plus loin. Tu aimeras ces nouvelles sensations j'en suis sûr ! Tu verras, tu te dépasseras ! « Maintenant, rhabillez-vous. Ce sera tout pour cette première fois. La semaine prochaine ce sera plus sérieux surtout pour toi, Camille, il te faudra obéir. N'oublie pas mes instructions, quant à ta tenue et à l'anus-picket que tu devras porter ! Venez directement ici. Si vous désirez toujours poursuivre l'aventure, bien sûr ! » ajoute-t-il ironiquement.

Nous sommes vite rhabillés. Ne sachant qu'en faire, je glisse mon slip maculé en boule dans ma poche. Maître Alex nous raccompagne jusqu'à la grille et nous le quittons. Nous remontons l'avenue pour retrouver notre voiture sur la place. J'éprouve une certaine gêne à marcher normalement avec l'engin qui me dilate l'anus. Camille se serre contre moi et me glisse à l'oreille qu'elle sent le vent frais s'engouffrer sous sa jupe et caresser son ventre dénudé, que c'est très excitant et que sa chatte est trempée. Puis, en riant, que moi, par contre, j'ai l'air vraiment coincé. « Comme si tu te retenais de chier ! » dit-elle. La garce ! Elle verra la semaine prochaine quand ce sera elle qui portera ce gadget dans le cul...

Je laisse conduire Camille pour rentrer chez nous...

A suivre ICI mais cela va devenir CHAUD CHAUD

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